• Ne le dis à personne

    Ne le dis à Personne…, Harlan Coben

    Roman à suspense, 2001. Edition France Loisirs pour ma part.

    En vente en ligne à la Fnac, Amazon en version Poche à 7€70.

    Obtenu à… Prêt. Bibliothèque de ma mère.

    Synopsis: « Imaginez… Votre femme a été tuée par un sérial killer. Huit ans plus tard, vous recevez un e-mail anonyme. Vous cliquez: une image… C’est son visage, au milieu d’une foule, filmé en temps réel. Impossible pensez-vous ? Et si vous lisiez Ne le dis à personne…? »

     

     Le titre vous dis quelque chose ? Sans doute; on passe assez souvent l’adaptation cinématographique française (il n'y en a pas d’autre de toute façon) à la télévision. J’ai réussi lui échapper (mais j’ai le dvd devant moi et je ne vais pas tarder à faire la comparaison entre les deux)* et ai préféré lire le livre avant toute chose.

     Cette histoire m’intriguait. Peut-être justement à cause des bandes annonces que j’ai déjà dû enregistrer inconsciemment dans un coin de ma mémoire ? Ou bien seulement le synopsis qui est, il faut l’admettre, assez accrocheur. 

     Alors voila, j’ai commencé ma lecture par le retour dans le passé de David Beck -dit Beck- et Elizabeth directement au fameux jour du décès de cette dernière. Du point du vue du mari, Beck donc. Hop, directement dans le bain. Et ce n’est pas peu dire: les chapitres sont courts et donnent à chaque fois envie d’enchainer sur le suivant, puis le suivant puis… vous m’avez comprise. Quelques fois, on quitte Beck pour se focaliser sur d’autres individus qui, dans un premier temps, ne semblent pas liés à lui. Nous découvrons ainsi Vic, Gandle, Wu et Jeremiah. J’ai cependant trouvé que ces passages, bien que d’un point du vue externe, ne se détachaient pas assez du style « d’écriture » de Beck, j'aurais aimé une réelle coupure entre les deux, qu'on différencie mieux le moment où Beck raconte son histoire et le moment où on observe un autre personnage. Mais ce n’est qu’un détail. Quand on se refocalise sur Beck et sa « course » pour retrouver sa femme ou tout du moins découvrir la vérité, d’autres personnages viennent se mêler à lui (Linda, Shauna, l’avocate, Carlson, Tyrese, etc) avec pour chacun une personnalité bien unique surprenante quand on regarde leur nombre.

     Au-delà de cet aspect; l’intrigue se déroule en l’espace de quelques jours pourtant les éléments apparaissent petit à petit et tout se mets lentement en place. Et finalement, on découvre que Beck, lui-même, ne nous a pas tout révélé depuis le début (le fourbe!). Le souffle coupé jusqu’à la dernière page.

     Quant au style littéraire, je l’ai trouvé assez simple, sans fioritures, à porté de tout le monde. Ça ne m’a pas dérangé plus que ça; c’était cohérent avec l’histoire et c’était somme toute agréable à lire.

    Note: 8.5/10  

     

    (*: Entre temps, j'ai commencé à regarder l'adaptation cinématographique mais je ne suis pas parvenue à accrocher... j'aurais peut-être dû laisser plus de temps entre ma lecture et la visualisation du film)

     

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